Mi-2020, dans un tribunal d’arrondissement en Suisse : une juge m'a condamné à une amende et à la prise en charge des frais de justice pour ne pas avoir porté un masque dangereux pour la santé. J'ai senti que c'était une injustice, d'autant plus que personne n'avait été lésé par mon action, qui visait uniquement à préserver mon intégrité physique.
En tant qu'êtres humains, nous avons la capacité de ressentir quand une injustice est commise à notre encontre ou à l'encontre d'autrui, sans que nous ayons besoin de savoir quelle loi ou quel droit a été violé. Quels sont en fait les points de repère et les références qui nous permettent d'évaluer ce qui est juste ou injuste ? Quels sont nos droits en tant qu'êtres humains ?
La motivation du jugement citait des paragraphes et des articles de lois et d'ordonnances suisses, mais était détachée de toute logique fondée et basée sur des preuves. Le point central de l'affaire n'a pas été réellement justifié. S'agissait-il seulement du respect du règlement ou du fait que personne n'avait eu à subir de dommage ? Pour ma part, cette question demeurait : lesquels de mes droits ont été bafoués par la procédure ?
Cette thématique m'occupe depuis lors de manière très intense, notamment la question de savoir si nous, les êtres humains, avons des droits fondamentaux et inaliénables qui nous échoient. Grâce à mes recherches et à des échanges avec de nombreuses personnes partageant les mêmes idées, j'ai trouvé des réponses.
Tu trouveras ci-dessous un résumé de celles-ci. Elles sont écrites de manière encore plus détaillée dans mon livre : «Seuls ceux qui revendiquent leurs droits en ont !»
Le Créateur a créé les hommes et leur a donné un ordre, le cosmos (du grec kósmos (κόσμος) ‘ordre, ordre mondial’). Dans le cosmos, tout obéit à des lois divines, dont découlent nos droits innés et inaliénables. Il s'agit notamment de la loi non écrite : «Honore la vie» ou, à l'inverse, «Ne fais de mal à personne», ainsi que du droit qui en découle, à savoir que personne ne nous fasse de mal. L'ordre divin comprend également les lois cosmiques. Il s'agit d'une série de principes universels, naturels, objectifs, non créés par l'homme, éternels et immuables du fonctionnement de l'univers. Ils règlent entre autres, selon la loi de cause à effet, les conséquences du comportement des êtres pensants. Ainsi, l'homme devrait également être en mesure, grâce à son intelligence, de faire la différence entre un comportement nuisible et un comportement non nuisible. En tant que source de droit, les lois cosmiques se reflètent dans le droit naturel. En ce qui concerne les actions des hommes, le droit naturel peut également être formulé comme suit : «J'ai le droit inné à ce que mon intégrité humaine soit préservée».
Les droits de l'homme fondamentaux et inaliénables, tels qu'ils sont garantis par la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 et toujours en vigueur aujourd'hui, se fondent sur le droit naturel, dont est ensuite issu le droit international général.
Les droits de l'homme et le droit international général sont les conventions globales et universelles de la communauté internationale en matière de droits de l'homme, qui priment sur le droit national. Les lois et règlements nationaux ne sauraient contredire ces normes de droit international, conformément au principe juridique selon lequel «les traités doivent être respectés», et les institutions et autorités de l'État ne peuvent y déroger. Si c'est malgré tout le cas, nous avons le droit de faire valoir nos droits en tant qu'êtres humains, car nous pourrons les obtenir uniquement en les défendant !
Dans le cas présenté au début et en l'état de mes connaissances actuelles, je revendiquerais mes droits - sur la base des droits de l'homme et du droit international général – comme suit :
En tant qu'êtres humains, nous avons la capacité de ressentir quand une injustice est commise à notre encontre ou à l'encontre d'autrui, sans que nous ayons besoin de savoir quelle loi ou quel droit a été violé. Quels sont en fait les points de repère et les références qui nous permettent d'évaluer ce qui est juste ou injuste ? Quels sont nos droits en tant qu'êtres humains ?
La motivation du jugement citait des paragraphes et des articles de lois et d'ordonnances suisses, mais était détachée de toute logique fondée et basée sur des preuves. Le point central de l'affaire n'a pas été réellement justifié. S'agissait-il seulement du respect du règlement ou du fait que personne n'avait eu à subir de dommage ? Pour ma part, cette question demeurait : lesquels de mes droits ont été bafoués par la procédure ?
Cette thématique m'occupe depuis lors de manière très intense, notamment la question de savoir si nous, les êtres humains, avons des droits fondamentaux et inaliénables qui nous échoient. Grâce à mes recherches et à des échanges avec de nombreuses personnes partageant les mêmes idées, j'ai trouvé des réponses.
Tu trouveras ci-dessous un résumé de celles-ci. Elles sont écrites de manière encore plus détaillée dans mon livre : «Seuls ceux qui revendiquent leurs droits en ont !»
Le Créateur a créé les hommes et leur a donné un ordre, le cosmos (du grec kósmos (κόσμος) ‘ordre, ordre mondial’). Dans le cosmos, tout obéit à des lois divines, dont découlent nos droits innés et inaliénables. Il s'agit notamment de la loi non écrite : «Honore la vie» ou, à l'inverse, «Ne fais de mal à personne», ainsi que du droit qui en découle, à savoir que personne ne nous fasse de mal. L'ordre divin comprend également les lois cosmiques. Il s'agit d'une série de principes universels, naturels, objectifs, non créés par l'homme, éternels et immuables du fonctionnement de l'univers. Ils règlent entre autres, selon la loi de cause à effet, les conséquences du comportement des êtres pensants. Ainsi, l'homme devrait également être en mesure, grâce à son intelligence, de faire la différence entre un comportement nuisible et un comportement non nuisible. En tant que source de droit, les lois cosmiques se reflètent dans le droit naturel. En ce qui concerne les actions des hommes, le droit naturel peut également être formulé comme suit : «J'ai le droit inné à ce que mon intégrité humaine soit préservée».
Les droits de l'homme fondamentaux et inaliénables, tels qu'ils sont garantis par la Déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 et toujours en vigueur aujourd'hui, se fondent sur le droit naturel, dont est ensuite issu le droit international général.
Les droits de l'homme et le droit international général sont les conventions globales et universelles de la communauté internationale en matière de droits de l'homme, qui priment sur le droit national. Les lois et règlements nationaux ne sauraient contredire ces normes de droit international, conformément au principe juridique selon lequel «les traités doivent être respectés», et les institutions et autorités de l'État ne peuvent y déroger. Si c'est malgré tout le cas, nous avons le droit de faire valoir nos droits en tant qu'êtres humains, car nous pourrons les obtenir uniquement en les défendant !
Dans le cas présenté au début et en l'état de mes connaissances actuelles, je revendiquerais mes droits - sur la base des droits de l'homme et du droit international général – comme suit :
- Mon droit à l'intégrité physique (explicitement décrit, entre autres, dans la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne, art. 3).
- Mon droit à la protection contre toute ingérence arbitraire ou illégale dans ma vie privée (Pacte international relatif aux droits civils et politiques, art. 17) → Mon corps et ma santé font définitivement partie de ma vie privée.
- Mon droit à un tribunal compétent, indépendant, impartial et établi par la loi (Pacte international relatif aux droits civils et politiques, art. 14, alinéa 1) → à ce jour, aucun tribunal n'a pu démontrer qu'il répondait à ces exigences.
